Aider ces dames à avoir des activités génératrices de revenus ; restaurer l’estime de soi et la dignité à ces femmes ; faire d’elles des ambassadrices de la cause des victimes de la fistule obstétricale au Burkina Faso et changer le regard de la société vis-à-vis de ces personnes.

Ce centre existe déjà avec des infrastructures d’accueil. Tous les pensionnaires bénéficieront de compétences multiples. A l’issue de leurs formations elles choisiront le domaine dans lequel elles voudraient évoluer.

La formation leur est entièrement gratuite.

Au regard du rejet et de la stigmatisation de ces dames par la société et malgré leur guérison, le projet de réhabilitation sociale consiste à la formation professionnelle des pensionnaires du centre (CFDE).

Nous sommes heureux de donner du bonheur car c’est la raison d’être de Schiphra.

La fabrication de savon
La fabrication de savon
Le tissage est déjà là
Le tissage est déjà là
Apprentissage de la couture. Elles confectionnent déjà de petits sacs.
Apprentissage de la couture. Elles confectionnent déjà de petits sacs.
La teinture
La teinture
La teinture des pagnes
La teinture des pagnes

Aider ces dames à avoir des activités génératrices de revenus ; restaurer l’estime de soi et la dignité à ces femmes ; faire d’elles des ambassadrices de la cause des victimes de la fistule obstétricale au Burkina Faso et changer le regard de la société vis-à-vis de ces personnes.

Ce centre existe déjà avec des infrastructures d’accueil. Tous les pensionnaires bénéficieront de compétences multiples. A l’issue de leurs formations elles choisiront le domaine dans lequel elles voudraient évoluer.

La formation leur est entièrement gratuite.

Au regard du rejet et de la stigmatisation de ces dames par la société et malgré leur guérison, le projet de réhabilitation sociale consiste à la formation professionnelle des pensionnaires du centre (CFDE).

Nous sommes heureux de donner du bonheur car c’est la raison d’être de Schiphra.

 

La 6ème vague des dames ESPOIR est arrivée le 2 septembre.
Elles sont actuellement 25 et viennent des villes de Nouna, de Ouahigouya, de Dédougou, de Gourcy et de Zabre qui contient un camp de réfugiés.
On disposait déjà du matériel mais il faut compléter les métiers à tisser, les teintures.
Une dame viendra leur apprendre la technique.
Il est aussi nécessaire d’acquérir de l’équipement pour la couture et la savonnerie.
Ce sont là sans les avoir chiffrées, nos contraintes budgétaires.
En contrepartie, nous avons beaucoup de joie pour plusieurs raisons.
La 1ère vague est venue au début du mois d’août 2023.

Les 126 dames qui constituent les 5 premières vagues sont toutes devenues chrétiennes. Elles s’intègrent dans leur église locale et leur pasteur appelle Georgette, leur responsable.
Les deux dames qui les encadrent prient beaucoup pour elles et pour Schiphra.
Madame K…, une de leur formatrice , a la révélation de plusieurs de ces dames et de leur vie souvent impliquée dans la sorcellerie. Toutes se repentent et changent complètement. Elles participent d’ailleurs au culte dans une petite église localisée derrière le mur de Schiphra 2.
Elles y sont même autorisées à chanter.
Madame Nebié qui a été opérée par la méthode de la dérivation est devenue responsable d’un grand centre de formation à Sabou.
Ce centre est le fruit d’une collaboration entre le Burkina et des européens.